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soleil d'hiver

Image Drapeau Cambodge
CambodgeRoad TripSites Inoubliables

2 semaines au Cambodge | Itinéraire & guide pratique pour préparer votre voyage

by Sarah 3 mars 2020

Cela faisait bien longtemps que je n’avais pas remis les pieds en Asie ! Et surtout, je rêvais de visiter les majestueux temples d’Angkor. Mais je n’imaginais pas que le Cambodge recelait tant d’autres pépites.
C’est en solo et en backpack que je ferai ce voyage, entre deux jobs. Je l’ai fait à mon rythme, en adaptant mon itinéraire au fil de mes rencontres et de mes envies.

ITINERAIRE DE 2 SEMAINES AU CAMBODGE

  • JOURS 1 à 4 – Siem Reap & les temples d’Angkor
  • JOURS 5 à 7 – La région de Kampot & ses plantations de poivre
  • JOURS 8 à 9 – Phnom Penh
  • JOURS 10 à 13 – Rencontre exceptionnelle avec les éléphants dans le Mondul Kiri
  • JOUR 14 – Départ depuis Phnom Penh

Image Carte du Cambodge - Itinéraire de 2 semaines

JOURS 1 à 4. Siem Reap & les temples d’Angkor

J’atterris au petit matin à Siem Reap après un long vol depuis Paris pour la première étape de mon parcours. Située à seulement quelques kilomètres de l’entrée des ruines, Siem Reap est la porte d’accès la plus proche d’Angkor. L’ancienne capitale de l’Empire Khmer ne compte pas moins de 200 temples dispersés sur plus de 400 km2 ! Il me faudra environ 4 journées pour visiter le site, que j’ai entrecoupé de demi-journées de pauses par ci-par là car les journées de visite sont denses. Ces moments de pause seront dédiés à la visite de la ville de Siem Reap et à la détente au bord de la piscine de l’hôtel.

  • Retrouver tous les détails dans le guide complet : 3 jours à Angkor

JOURS 5 à 7 – La région de Kampot et ses alentours

Après l’émerveillement d’Angkor, c’est un nouveau coup de cœur qui m’attend à Kampot. J’ai a-doré l’ambiance de cette petite ville côtière au charme authentique et la beauté de son arrière pays. C’était l’endroit idéal pour se reposer de ces quelques jours intenses de visite et pour découvrir Kep avec son marché au crabe.

Mais la région de Kampot est avant tout célèbre dans le monde entier pour son poivre. La visite d’une plantation de poivre pour découvrir ce trésor gastronomique est absolument incontournable. Rien que pour cela, Kampot mérite le détour !

  • Retrouver tous les détails dans le guide complet : Visiter Kep et Kampot en 3 jours, une étape incontournable
Image Cambodge Kampot pont

JOURS 8 à 9 – Phnom Penh

Changement d’ambiance à la capitale. Je ne voulais pas rester trop longtemps sur place, préférant le calme de la nature à l’animation de la ville. Ma première matinée a été dédiée à la visite du site de la prison S-21 (Tuol Sleng Genocide Museum). On y apprend l’histoire du génocide sous le régime khmer rouge, cela permet de mieux comprendre le passé douloureux et encore très récente qui a marqué le peuple cambodgien. Vous vous en doutez, c’est assez éprouvant… Une petite marche jusqu’au marché russe l’après-midi pour se changer les idées était la bienvenue. Le lendemain, j’ai eu le temps de flâner dans la ville en passant devant le Palais Royal jusqu’à l’immense marché central.

  • Retrouver les bonnes adresses dans l’article : 2 jours pour visiter Phnom Penh
Image Palais Royal Phnom Penh

JOURS 10 à 13 – À la rencontre des éléphants dans le Mondul Kiri

Approcher les éléphants dans leur milieu naturel est une expérience dont je rêvais depuis toujours. Mais pas à n’importe quelle condition ! Hors de question de leur grimper dessus, simplement le bonheur de pouvoir les observer évoluer dans la nature en toute tranquillité. Dans la province du Mondul Kiri à l’extrême est du pays, il existe des centres dédiés à la préservation et à la réhabilitation des éléphants dans leur milieu naturel. Je n’ai donc pas hésité une seconde à faire les 5h de route depuis Phnom Penh jusqu’à Saen Monourom, la capitale de la région où se trouve l’ONG du Mondul Kiri Project. J’y ai passé deux jours inoubliables entre randonnée et rencontre avec les éléphants… Une expérience que je ne suis pas prête d’oublier !

  • Je vous raconte tout dans l’article : 2 jours inoubliables avec les éléphants dans le Mondul Kiri
Image baignade élephant

JOUR 14 – Retour depuis Phnom Penh

Retour à Phnom Phen pour une dernière demi-journée. Tout juste le temps de tester quelques nouvelles adresses et manger un morceau avant de reprendre mon vol le lendemain matin tôt, des souvenirs plein la tête…


CAMBODGE : LE GUIDE PRATIQUE

Partir au Cambodge

Comment venir ?
L’avantage du Cambodge est qu’il existe 2 grands aéroports internationaux :

  • Phnom Penh (PNH)
  • Siem Reap (REP)
  • Sihanoukville (KOS)

C’est très pratique car selon votre itinéraire, vous pourrez donc arriver et repartir via des aéroports différents. Depuis la France, les deux aéroports les plus accessibles sont Phnom Penh et Siem Reap. 
Sachez qu’il n’existe pas de vols directs depuis la France, vous devrez donc obligatoirement faire escale (Bangkok ou Dubaï sont les plus courantes).
Pour mon périple, je suis passée par Thai Airways pour un aller Siem Reap, retour via Phnom Penh qui m’a coûté 1 000€ en last minute. Vous pourrez certainement trouver des billets bien moins chers en vous y prenant à l’avance !
Temps de vol :
Paris / Siem Reap : 14h
Phnom Penh / Paris : 15h
En comptant une escale d’environ 1h à chaque fois.

Quelles formalités ?
Visa obligatoire pour les ressortissants français, en plus d’un passeport valide au minimum 6 mois après votre date de retour. C’est le visa touriste (type T) qui est valable 30 jours, renouvelable une fois et valide pour 3 mois à partir de sa date d’émission. Il coûtait 36 US$ en 2020.
Il est possible d’obtenir votre visa sur place à votre arrivée à l’aéroport. Si vous choisissez cette option, pensez à prendre plusieurs photos d’identité avec vous. Personnellement, j’ai préféré faire une demande en ligne en amont pour éviter de perdre du temps sur place après tant d’heures de vol. Vous pouvez faire votre demande sur le site du Ministère des affaires étrangères dédié. Ils m’ont fait un retour avec confirmation en moins de 24h.

Vaccins ?
Aucun vaccin obligatoire.

Quand partir au Cambodge ?
La saison sèche s’étend de novembre à avril. C’est la période idéale pour voyager au Cambodge car la chaleur est supportable et les pluies relativement rares, justes quelques moussons de temps en temps. Evitez donc du voyager entre les mois de mai et novembre, c’est la saison des pluies et les températures peuvent battre des records en mai / juin.
Petit conseil, si vous vous rendez sur des sites très touristiques comme Angkor ou les îles, essayez d’éviter également la période du nouvel an chinois qui a généralement lieu entre fin janvier et fin février… Même si c’est l’occasion pour les chinois de se retrouver en famille, ils en profitent aussi pour voyager à ce moment là. Par ailleurs, dans certaines villes au Cambodge tenues par les chinois comme Sihanoukville, le temps s’arrête pendant 1 grosse journée.

Combien de temps partir ?  
En 2 semaines il est déjà possible de faire beaucoup de choses au Cambodge. Tout dépend de vos priorités ! Certains transferts peuvent prendre du temps, surtout si vous prenez le bus ou bateau. Si vous avez un peu de budget, l’avion peut vous aider à gagner du temps. Lors de mon parcours de 2 semaines, j’ai du choisir entre aller voir les éléphants dans le Mondul Kiri ou me prélasser quelques jours sur l’île de Koh Rong… Donc une vingtaine de jours me parait donc encore plus optimal pour un tour vraiment complet !

Sur place

Comment se déplacer ?

  • Par avion : les vols intérieurs sont bien pratiques pour les longues distances, surtout si vous avez peu de temps. Il existe des liaisons régulières entre les 3 aéroports principaux. J’ai pu rejoindre par exemple Sihanoukville depuis Siem Reap via Cambodia Angkor Air pour 95,80 US$.
  • Le Bus : un moyen de transport fiable et économique, même si il ne faut pas être trop à cheval sur les horaires…. Les grosses compagnies proposent des bus climatisés (prenez une écharpe…). J’ai pu tester la compagnie Giant Ibis qui est parmi les plus fiables, ponctuelles, et les plus sécuritaires, malgré un prix légèrement plus élevé. Il paraît que Mekong Express est très bien également mais je n’ai pas testé.
  • Le Mini Van : alternative au bus, certaines destinations peuvent être rejointes avec des vans de 8 places environ. C’est parfois un peu le bazar sur la route et les conducteurs ont tendance à rouler vite, alors votre expérience dépendra surtout de votre chauffeur !
  • Les taxis ou les tuk-tuk : Parfait pour les courtes distances en ville ou bien pour visiter les temples d’Angkor. Pensez à négocier le prix avant de monter ou vérifier qu’il y ait un compteur. Votre hôtel vous donnera généralement une idée du juste prix selon votre destination.
    A Phnom Penh il existe même une application équivalente à un Uber local, version tuk-tuk : Grab. A télécharger absolument ! C’est super fiable et pas de mauvaise surprise sur les prix.

Pour réserver en amont mes trajets en bus ou van, j’ai eu deux bonnes expériences via le sites Bookaway et Bookmebus.

Pour être plus libre de vos mouvements, vous pouvez aussi louer des scooters dans certains endroits comme à Kampot par exemple. Il faut rester prudent car les routes ne sont pas toujours en excellent état surtout après de fortes pluies (bonjour les lombaires…), mais c’est vraiment agréable et largement praticable.

Il est également possible de prendre le bateau ou le train pour rejoindre certaines destinations mais à priori c’est assez long, peu confortable et assez laborieux.

Pour vous orienter sur place sans avoir besoin d’internet, l’application Maps.me fonctionne parfaitement là bas.

Se loger au Cambodge :
Il est très simple de trouver un hôtel sur place et il y en aura pour tous les goûts, du bel hôtel de luxe à la petite auberge de jeunesse. Vous aurez de quoi vous faire plaisir car les tarifs sont très abordables ! Voyageant solo en backpack, j’ai réservé chaque jour pour le soir même via Booking et je n’ai eu aucun problème, même dans les lieux les plus touristiques. Vous pouvez même essayer d’arriver directement sur place et de négocier le tarif affiché sur internet. Mais si vous visez un bel hôtel en particulier en haute saison, ça ne fait jamais de mal de réserver en avance.

Voyager seul(e) au Cambodge :
Le Cambodge est une destination très sûre pour voyager seul(e). Les cambodgiens sont adorables et très courtois, il est très facile d’échanger avec les locaux même si ils ne parlent pas toujours un anglais parfait.
Comme partout, il faut faire attention et respecter les traditions locales mais je ne me suis jamais sentie en insécurité et je n’ai pas été une seule foie importunée.

Monnaie & Budget au Cambodge

  • Devise :  Riel (KHR), mais le US $ est le plus utilisé.
  • Mode de paiement : Vous pourrez payer avec votre CB dans la plupart des grands hôtels ou restaurants, mais globalement le cash est nettement privilégié. Pour payer à moindre frais au Cambodge, je vous conseille de prendre une carte Revolut avant votre séjour. Cela vous permettra de payer au taux de change réel et d’éviter les frais lorsque vous payez par CB. Avec la carte standard, vous pourrez également retirer sans frais jusqu’à 200€ par mois (du lundi au vendredi). C’est toujours ça de pris !
  • Pourboire : il est assez courant, surtout avec les guides. Prévoyez d’avoir toujours quelques billets d’1 US$ sur vous.
  • Budget pour 2 semaines en backpack au Cambodge :
  • Vols A/R : 1 109 US$ soit 1 000€
  • Hébergement : 209 US$ soit 188€
  • Transports : 208 US$ soit 188€ dont
  • 96€ de vol interne
  • Nourriture : 155 US$ soit 140€
  • Activités : 171 US$ soit 154€

Le séjour m’aura donc coûté un total de 1 670€ en voyageant seule pour les 2 semaines. Sachant que je me suis fait plaisir sur tout et que je voyageais seule, c’est vraiment très bon marché ! Si vous voyagez à deux, cela sera d’autant plus avantageux car le coût des hôtels et des transports seront divisés par deux. Vous pourrez également réduire les coûts en anticipant davantage la réservation de votre vol A/R (vous pouvez trouver des vols pas chers autour de 600€) et en évitant de prendre un vol interne si vous avez un peu le temps.

Culture & traditions :

  • Les cambodgiens sont un peuple pudique. Vous embrasser en publique pourrait les gêner, surtout hors des zones très touristiques.
  • Ne pas toucher la tête des gens, même des enfants ! La tête est le point haut du corps et donc la partie la plus noble.

Voler en drone au Cambodge : 
La législation n’est pas encore très claire sur le sujet. Il est possible de voler avec son drone au Cambodge à condition de respecter certaines règles strictes, similaires à celles existantes en France comme ne pas survoler les foules ou voler près d’un aéroport par exemple. Par ailleurs, ne vous amusez pas à voler aux abords du Palais Royal à Phnom Penh, certains en ont fait les frais… Le site d’Angkor ou encore les temples historiques sont également des zones interdites, à moins d’une autorisation écrite. Plus d’infos sur un article récent du Cambodge Mag : ici.
Les règles évoluant tellement vite, pensez toujours à vous renseigner avant de partir !

Bon à savoir :

Décalage horaire : GMT +7h
Indicatif Téléphonique : +855
Types de prises :

Icone Prise Type AIcone Prise Type CIcone Prise Type G

Les prises européennes sont très répandues au Cambodge. Dans le doute, vous pouvez toujours prendre un adaptateur avec vous au cas où, mais vous n’aurez aucun problème pour utiliser vos prises françaises.


Voyager au Cambodge est assez simple en terme d’organisation mais j’espère que ces quelques informations vous auront aidé à préparer ce voyage.

3 mars 2020 0 comment
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oman wahiba sands desert
DestinationsOmanRoad Trip

Les essentiels d’un road trip d’une semaine à Oman

by Sarah 10 janvier 2020

Veille de Noël, envies d’ailleurs, besoin pressant de soleil et de chaleur… Quoi de mieux que de finir l’année sur un coup de tête voyage ?

Oman est apparu comme une évidence. J’avais tant entendu parler des wadis, ces merveilleux oasis nichés au creux de profonds canyons. C’était l’occasion rêvée d’enfin les découvrir ! Mais ce ne sont pas les seuls trésors du sultanat. Entre ses montagnes majestueuses, son désert de sable fin et sa mer turquoise, le pays offre de multiples facettes en seulement quelques kilomètres.

Nous voilà donc 3 jours plus tard dans l’avion direction le Sultanat d’Oman pour un road trip improvisé entre copines.

Vue sur Doha

Notre itinéraire d’une semaine à Oman avec les grands incontournables

Oman en un clin d’œil

  • S’émerveiller devant la grandeur des montagnes
  • Se baigner dans les wadis
  • Chiller dans un hôtel de luxe à Mascat
  • Regarder le soleil se lever au beau milieu du désert
  • Aller admirer la grande mosquée du Sultan el Qabus
  • Visiter ses villages pittoresques et ses châteaux

Notre Itinéraire


  • JOUR 1 – Mascate
  • JOUR 2 – Jebel Akhdar & le plus bel hôtel d’Oman
  • JOUR 3 – Misfah & Jebel Shams
  • JOUR 4 – Nizwa & ses alentours
  • JOUR 5 – Désert de Wahiba Sands
  • JOUR 6 – De Wadi Bani Khalid à Sour
  • JOUR 7 – De Wadi Shab à Mascate


JOUR 1. MASCATE

Située dans le Golf d’Oman, cette ancienne ville fortifiée est un mélange de modernité et d’authenticité selon les différents quartiers. La ville a su garder par endroits un style très typique, loin de ses voisines clinquantes Doha ou encore Dubaï. Côté mer, la balade sur la corniche est très agréable. De l’autre côté au loin les montagnes entourent la ville…
C’est une belle introduction à la vie omanaise et cela vaut la peine d’y consacrer une journée.

Alors que faire en un jour à Mascate ?

Admirer la Mosquée du Sultan El Qabus

Cadeau du Sultan à la Nation, c’est la plus grande mosquée du pays. C’est un véritable bijou d’architecture aux influences variées et les décors sont à tomber. Levez bien les yeux, vous ne pourrez pas rater les 35 lustres Swarovski en cristal qui habillent les hauteurs de la mosquée. Parmi eux, le plus grand chandelier du monde, serti d’or de 24 carats… Elle abrite également le plus grand tapis du monde fait main.  
Tout simplement grandiose.

L’entrée est gratuite mais attention, la mosquée n’est ouverte que de 8h à 11h et elle n’accueille pas les touristes le vendredi. C’est d’ailleurs la seule mosquée que vous pourrez visiter à Oman si vous n’êtes pas musulman(e).
Pensez également à prendre de quoi vous couvrir intégralement les cheveux, les bras et les jambes afin de respecter les mœurs locales. Autrement, on ne vous laissera pas entrer.

Se balader dans la vieille ville et flâner dans le souk de Mutrah

Mutrah est le quartier incontournable de Mascate. Animé par de nombreux petits commerces, c’est un lieu populaire qui a garder son authenticité.

Tous les matins, le marché au poisson s’anime au bout de la corniche, c’est l’occasion de démarrer une balade agréable le long de la promenade en bord mer. Un peu plus loin, arrêtez-vous au souk pour vous perdre dans un dédale de petites allées aux échoppes parfumées et colorées. A côté des souks marocains que j’adore, celui-ci fait un peu pâle figure. Mais c’est tout de même l’occasion de faire quelques emplettes et de ramener avec vous quelques produits locaux, encens, épices ou autres. Bien sur, on négocie !
Si vous aimez particulièrement les essences de parfum oriental, allez plutôt visiter la parfumerie Amouage à quelques kilomètres du centre. C’était malheureusement fermé quand nous avons voulu y aller, mais c’est une référence connue dans le monde entier.

Chiller & boire un verre au Chedi Hotel

Véritable écrin de luxe au bord de l’eau, l’hôtel est à la fois moderne et emprunt de touches orientales. Si la plage privée en elle même n’a rien d’exceptionnel, les deux piscines bordées par des palmiers offrent une vue magnifique sur la mer. C’est certainement l’un de plus beaux hôtels de Mascate. En allant y prendre un verre, vous pourrez également profiter de leur plage privée, très agréable par une chaude journée d’été. Un petit plaisir que nous ne nous sommes pas refusé !

Où dormir à Mascate ?

  • Coral Muscat Hotel and Apartments : Des appart’hôtels confortables et chaleureux, avec piscine. Emplacement est assez central pour visiter les différents quartiers.
  • Fort Guesthouse : J’ai entendu parler récemment de cet hôtel tout près du souk. Il a l’air simple, bien situé et d’un bon rapport qualité prix. A tester, donc.
  • Muscat Hills Resort : En dehors du centre, bel hôtel situé dans une baie privée magnifique.

Où manger à Mascate ?

  • Bait al Luban : authentique cuisine omanaise avec une jolie vue depuis la terrasse sur le marché aux poissons.
  • Kargreen : Atmosphère zen au cœur d’un jardin luxuriant éclairé par des lanternes. Au delà du cadre magnifique, la cuisine est délicieuse et le choix de spécialités locales très large ! 

Où boire un bon jus de fruit frais à Mascate ?

  • Juice world : à la sortie du souk. C’est kitsch, mais c’est bon ! La petite terrasse en rooftop qui donne sur le port est simple mais très sympa en fin de journée.

Où boire un verre à Mascate ?

  • The Chedi Hotel : Pour vous faire plaisir dans le cadre exceptionnel d’un hôtel 5 étoiles. Nous y sommes allées en milieu d’après midi, mais l’ambiance à la tombée de la nuit doit avoir quelque chose de magique.

JOUR 2. DJEBEL AKHDAR & le plus bel hôtel d’Oman

Le Sultanat d’Oman est traversé par d’imposants djebels (montagnes) qui culminent jusqu’à 3 000m. Surnommée la «montagne verte» à cause de ses nombreuses cultures en terrasse, Djebel Akhdar nous en a mis plein les yeux dès notre arrivée avec sa nature brute et ses reliefs spectaculaires.
Le Djebel est vaste et il n’est pas évident de comprendre comment explorer cette partie du Mont Hajar. Il existe plusieurs façon de se balader dans cette montagne, mais il s’agit essentiellement de faire de la piste, du nord au sud. Vous pouvez par exemple emprunter la piste jusqu’à Sayq en passant par Al-Aqur et Al-Ayn. Mais pour découvrir ce Djebel, nous avons préféré nous rendre à Alila et d’y passer l’après midi.
Sur la route depuis Mascate, nous faisons un stop au petit village de Birkat al Mouz pour nous dégourdir les jambes entre les plantations de palmiers et de bananiers.

Déjeuner à Alila devant une vue à couper le souffle

Compter environ 2h30 pour aller de Mascate à Alila si vous ne vous arrêtez pas comme nous au fur et à mesure pour admirer les différents points de vue du Djebel. Le panorama depuis la terrasse d’Alila est magnifique mais il se mérite ! Car l’hôtel est perché à 2 000m d’altitude au beau milieu de nulle part et la route est longue. Mais quel spectacle à l’arrivée ! Au delà de la vue, l’établissement est sublime. Sobre et raffiné, les teintes naturelles de bois et de pierre se mêlent parfaitement dans le paysage.
Nous aurions aimé avoir le budget d’y passer au moins une ou deux nuits pour déconnecter totalement…

Où dormir pour visiter Djebel Akhdar ?

Vous l’aurez compris, Alila est LA référence si vous voulez vous payer le luxe d’une nuit dans un sublime hôtel 5 étoiles.
Nous n’avions malheureusement pas ce budget, nous avons donc trouvé un hôtel un peu en dehors d’Al Hamra, le Shorfet Al Alamin Hotel. La nature environnante est très belle mais la chambre qui m’a été attribuée était dans une sorte de cabanon absolument pas étanche au froid. En plein mois de décembre, je vous déconseille vivement cet hôtel, nous étions littéralement gelées même avec la clim réversible qui a tourné a plein régime toute la nuit.

A-t-on besoin d’un 4×4 pour visiter Djebel Akhdar ?

La réponse est oui, c’est le seul endroit où la location d’un 4X4 est obligatoire. Un contrôle de police à l’entrée de la route menant au Djebel (à quelques kilomètres au nord de Birkat al Mouz) vérifie systématiquement chaque véhicule pour des raisons de sécurité. Si vous n’avez pas 4 roues motrices, vous devrez faire demi tour car autrement le dénivelé et les routes du Djebel sont impraticables. Les pistes sont parfois si pentues qu’il est difficile de s’arrêter prendre des photos, au risque de ne plus pouvoir repartir…

Distances pour rejoindre Djebel Akhdar :

  • Depuis Mascate : entre 2h et 2h30
  • Depuis Nizwa : entre 1h et 1h30

JOUR 3. Misfah & Djebel Shams

Le charme de Misfah al Abriyeen

A proximité d’Al Hamra où nous avions dormi la veille se trouve le village pittoresque de Misfah. Nous démarrons la matinée par visiter ce lieu typique aux maisons traditionnelles niché au cœur d’une luxuriante palmeraie. En arrivant, nous nous arrêtons dans le villa prendre un bon jus d’orange frais chez sur la jolie terrasse avec vue d’Al Misfah Hospitality Inn.
Puis en contre bas du villages, on se ballade sur les terrasses en escalier, au milieu des palmiers dattiers tout en suivant les nombreux canaux d’irrigation créés par les Perses qui irriguent la plantation.

En quittant le village, nous nous arrêtons pour un déjeuner rapide chez Reem Al Yamen avant de prendre la route pour le Djebel.

Djebel Shams, ou la « montagne du soleil »

Djebel Shams est le point le plus haut du Sultanat et il offre des vues spectaculaires sur le « Grand Canyon » d’Oman. Rien que la route pour y accéder est magnifique !

Nous longeons d’abord le village abandonné de Ghul et nous arrêtons prendre quelques photos. Après de nombreux virages, se dessine l’entrée du canyon, la vue est magnifique. De là démarre une piste caillouteuse mais très praticable qui nous emmènera jusqu’au sommet du Djebel (elle redevient bitumée par la suite). Après de nombreux stops photos et quelques balades pour se dégourdir les jambes, nous posons nos valises à notre hôtel et filons trouver un spot pour observer le coucher de soleil. Un moment magique dans le silence absolu du Djebel…

Une randonnée de 4/5h le long de la crête du canyon est possible dans le Djebel Shams, c’est la Balcony Walk. Le point de départ se situe à Al Khitaym (W6 indiqué sur maps.me). Très tentant, mais pour m’être bien renseignée en amont, les chemins sont balisés mais vertigineux. Ce fichu vertige aura encore eu raison de moi…

Où dormir pour visiter Djebel Shams ?

Vous pouvez faire l’aller-retour depuis Al Hamra ou Misfah, le Djebel est relativement isolé, la route est longue et il est plus prudent d’éviter d’emprunter les pistes la nuit. L‘idéal est donc de passer une nuit sur place pour mieux en profiter.
Nous avons dormi au Jabel shams stars house. Très correct pour le prix (65€ la nuit pour 1 chambre), bien chauffé, et surtout très bien situé au coeur du Djebel. Nous y avons aussi diné, la cuisine faite maison était délicieuse.
Vous pouvez également camper dans le Djebel si vous êtes bien équipés contre le froid (les nuits peuvent être glaciales !) et que vous avez un bon matelas de camping.

A-t-on besoin d’un 4×4 pour visiter Djebel Shams ?

Contrairement au Djebel Akhdar, vous n’en aurez pas besoin. La route est principalement goudronnée et même les pistes restent très praticables si l’on baisse un peu l’allure.
Le 4×4 pourra cependant s’avérer nécessaire si vous prévoyez d’explorer Wadi Ghul, car certaines routes sont impraticables autrement.

Distances :

Pour rejoindre le plateau au sommet du Djebel Shams :

  • Depuis Mascate : 3h
  • Depuis Nizwa : environ 80 km – 1h30
  • Depuis Al Hamra : 35 km – environ 55 min

Pour rejoindre Misfah :

  • Depuis Mascate : 2h30
  • Depuis Al Hamra : 7 km
  • Depuis Nizwa : 50 km environ

JOUR 4. Nizwa & ses alentours

Après un copieux petit-déjeuner à l’hôtel, nous quittons le Djebel pour redescendre vers Nizwa, en faisant un crochet par le château de Jabreen.

Le Château de Jabreen

Véritable trésors omanais datant de plus de 300 ans, le «château» de Jabreen était une ancienne résidence des sultans et des imams de Mascate. Avant de devenir un fort, elle il également servi comme école de médecine, d’astrologie et de droit islamique.
Cerné par d’épais remparts, le château est un chef d’œuvre d’architecture omanaise. Les façades sont épurées et les plafonds superbement décorés. A l’intérieur, vous pourrez visiter les anciens quartiers d’habitation de la famille et des serviteurs, la salle à manger, la cuisine, l’école etc. …
Du haut de la tour, un superbe panorama à 360° s’étale sous nos yeux, d’un côté les montagnes de l’Hajar, de l’autre des oasis verdoyantes.

Nous aivons hésité à faire ce détour, et nous sommes finalement ravies de l’avoir fait. Selon moi la visite du château valait davantage le coup d’oeil que la ville de Nizwa !

Tarif : 0,50 OMR soit environ 1€

Nizwa

Surnommée la « perle de l’Islam » pour ses deux grandes mosquées, je n’ai pas particulièrement apprécié Nizwa. Selon moi, en dehors du souk et de sa citadelle (tout de même classée au patrimoine mondial de l’UNESCO), il n’y a pas grand chose à voir et nous n’y avons fait que passer en fin de soirée. Le marché aux bestiaux est paraît-il il très sympa à faire le vendredi matin, mais je ne dirais pas que c’est une étape incontournable de votre séjour.

Après nous prenons la route vers le désert on a dormi ou ??? Juliette ?

JOUR 5. Le Désert de Wahiba Sands

Le désert me fait toujours quelque chose… On se sent tellement seul au beau milieu de l’immensité des dunes de sable. C’est une incroyable sensation d’apaisement et de liberté. Avec ses dunes de sable à perte de vue, le désert de Wahiba Sands n’échappe pas à la règle !

Une fois arrivées à Salma Al Wasil, notre campement, nous en avons profité pour nous balader à pied tout autour puis savourer un délicieux repas. Le dîné et le petit-déjeuner étaient servis sous forme de buffet, sous une tente berbère. Quelques brasero nous ont réchauffé le soir, mais quel plaisir de diner sous les étoiles pour démarrer la nouvelle année !

Le lendemain, nous n’avons pas résisté à une balade à dos de dromadaire organisé par notre campement pour assister au lever du soleil. Le ciel était assez couvert ce jour là, mais l’expérience était tout de même agréable. Nous avons également opté pour une session de « dune bashing » histoire de se faire quelques sensations fortes. C’était l’occasion d’aller un peu plus loin au delà du campement et découvrir les dunes sous un autre angle.

En bref, si vous découvrez ce type de paysage pour la première fois, l’expérience est magique !
Pour ceux qui ont l’habitude du désert ailleurs dans le monde, il se peut que vous soyez un chouya déçu. Le Wahiba Sands n’est pas le plus impressionnant que j’ai eu l’occasion de visiter jusqu’à présent, mais l’expérience d’une nuit dans le désert est toujours un vrai plaisir !

Où loger à Wahiba Sands ?

Salma Al Wasil : Le camp est très agréable et les chambres cosy. Facile d’accès il est situé le long d’une piste à environ 14 km de l’entrée du désert. C’est une bonne option pour passer une nuit à Wahiba Sands.

Nous rêvions de passer une nuit dans le cadre enchanteur du Desert night Camp, mais il était déjà complet.

Par où entrer dans le désert ?

Deux entrées sont possibles selon votre la localisation de votre campement : au niveau d’Al Wasil, ou au sud d’Al Mintarib Castle.

Le 4×4 est il obligatoire pour explorer le désert ?

Oui il vous faudra un 4×4 pour conduire dans le sable. Vous pourrez tout à faire le faire par vous même, la piste est facilement praticable. Pensez juste à dégonfler un peu vos pneus avant d’entrer dans le désert.
Mais si vous n’aviez pas prévu d’en louer un ou encore si vous ne souhaitez pas conduire vous même dans le désert, certains hébergements vous proposent de venir vous chercher à l’un des points d’entrée. Sinon, négociez avec un rabatteur ou un guide à Bidiyah pour faire le transfert.

Distances jusqu’à l’entrée du désert :

  • Depuis Nizwa : 175km, soit un peu plus de 2h de route
  • Depuis Wadi Bani Khalid : environ 50 km, compter une petite heure
  • Depuis Mascate : 200 km – 2h

JOUR 6. De Wadi Bani Khalid à Sour

Pique-nique au Wadi Bani Khalid

Après 40 min de route, nous arrivons au Wadi Bani Khalid, sans doute le plus populaire de tous et par conséquence très fréquenté. Pour en profiter au maximum, essayez de venir tôt le matin et évitez à tout prix le week-end (vendredi ou samedi pour les omanais) et les fortes périodes touristiques.

Le site est magnifique. L’eau y est turquoise, les piscines naturelles s’enchaînent au milieu des roches blanches et des palmiers dattiers… Dommage qu’il ait tant d’aménagements sur le premier bassin, cela casse un peu le charme du lieu. Mais il suffit de marcher un peu plus loin en remontant le cours d’eau pour être plus tranquille. Après quelques mètres, nous avons trouvé un endroit au calme et à l’ombre, parfait pour pour pique-niquer. Quel bonheur de se rafraîchir enfin, après la chaleur du désert !

Sour

Nous y sommes arrivées dans cette petite ville de pêcheurs en fin de journée et avons profité d’une agréable balade le long de la plage sur la corniche jusqu’au port.
Sour n’a rien d’exceptionnel, mais de toutes les villes que nous avons traversé c’est sans doute la plus mignonne. C’est surtout une bonne étape pour couper la route entre le wadi Bani Khalid et les wadis de la côte, avant de remonter vers Mascate.

Où dormir à Sour ?

L’offre d’hébergement est assez réduite à Sour. Nous avons opté pour l’un des établissements les moins mal notés encore disponibles : le Oyo 111 Al Thabit Hotel. Rien de fou, mais un tarif abordable à 56€ la nuit. Le Sour Grand Hotel à l’air un peu plus qualitatif.

Distances pour le Wadi Bani Khalid :

  • Depuis l’entrée du désert : 60 km – 40 min
  • Depuis Mascate : 255 km – environ 3h de route

Distances pour Sour :

  • Depuis Wadi Bani Khalid : 57 km – 50 min
  • Depuis Mascate : 204 km – 2h15

JOUR 7. De Wadi Shab à Mascate

De Sour, nous avons filé directement le matin au Wadi Shab, pour profiter de notre dernière journée à Oman.
Ne vous fiez au cadre de départ : un parking sous l’autoroute. De là, vous devrez prendre une barque pour accéder au chemin qui mène au wadi (1 OMR aller-retour). Passé l’autre côté de la rive, il vous faudra marcher environ 45 min au milieu des plantations et des falaises pour atteindre les eaux transparentes du wadi (aucun problème de vertige sur la route).
La baignade fait du bien après cette longue marche. Au fond, n’ayez pas peur d’aller jusqu’au petit passage étroit qui vous mènera dans une sorte de caverne avec une jolie cascade… C’est le plus joli wadi que l’on ait pu voir !
Pour profiter au mieux de Wadi Shab, je vous conseille d’y passer au moins une demi-journée, en pensant bien à prendre des bouteilles d’eau avec vous.

Au retour, nous avons voulu faire une halte à Wadi Tiwi, juste à côté. Nous avons garé la voiture au parking et démarré une marche le long du wadi et des petits villages. C’était assez chouette même si il n’y avait pas beaucoup d’eau. Le wadi nous a paru très étendu et ça grimpe sec, nous sommes finalement parties récupérer la voiture pour pouvoir monter plus haut dans les villages. La route est devenue très étroite et la pente de plus en plus forte. Le bruit du moteur de notre 4×4 nous a fait quelques frayeurs et nous avons finalement décidé de rebrousser chemin.

Nous voilà donc repartie en direction de Mascate pour passer notre dernière soirée avant notre vol du lendemain.

Où dormir près de Wadi Shab ?

Il n’y avait pas beaucoup d’options dans le coin et nous avons opté pour le Wadi Shab Resort. Points positif : la situation de l’hôtel est très bien et les chambres sont spacieuses, avec de grands lits. Mais l’accueil n’y était pas particulièrement chaleureux, et surtout les chambres très vieillissantes. La notre avait une infiltration d’eau le long d’un des murs. Bref, je ne vous conseille pas particulièrement ces établissement.

Distances jusqu’à l’entrée du wadi :

  • Depuis Sour : 48 km – 40 min
  • Depuis Wadi Bani Khalid : 185 km – environ 2h45
  • Depuis Mascate : 156 km – 1h40

Nous avons adoré la grande richesse des paysages d’Oman et la gentillesse des omanais. Les villes que nous avons pu visiter ne m’ont pas particulièrement marquée, mais il faut admettre que la nature environnante est vraiment magnifique. J’y retournerai volontiers, cette fois pour visiter les deux extrémités du pays : la région du Dhofar plus aux sud, ou encore les fjords de la péninsule du Musandam, une enclave située au nord du pays et séparée par les Emirats Arabes Unis.

INFOS PRATIQUES

Venir à Oman :
En direct avec Oman Air pour en moyenne 450€ si vous vous y prenez à l’avance. Comptez 7h de vol.

Comment obtenir son visa pour Oman ?
Les ressortissants français doivent obligatoirement avoir un visa pour entrer à Oman. La démarche se fait rapidement et simplement via le site d’Oman evisa, avec un retour sous 48h environ. Ce site a été créé et est géré par la police omanaise, c’est donc une valeur sûre !
Le visa est valable 1 mois à compter de sa date de délivrance, vous devez donc faire sa demande dans le mois qui précède votre départ. Attention, votre passeport doit être valable encore 6 mois après votre date d’entrée sur le territoir.
Le prix varie selon la durée de votre séjour. Jusqu’à 10 jours, il vous coûtera 5 rials soit environ 12€. Au delà, comptez 20 rials soit environ 45€.

Quand partir à Oman ?
La météo est favorable tout l’année à Oman, mais tout dépendra de votre tolérance à la chaleur et de votre itinéraire. D’avril à octobre, la chaleur peut vite devenir écrasante, les températures allant parfois bien au delà de 40°… La haute saison va de novembre à mars. Les températures sont alors bien plus acceptables mais il peut faire très frais dans les terres, notamment dans les montagnes. Attention, à cette période les prix peuvent grimpent très fortement !
L’idéal est donc de partir fin mars ou fin septembre pour avoir de bonnes températures, sans suffoquer et avoir les meilleurs tarifs.

Se déplacer à Oman :
Il est très facile de s’orienter à Oman, les routes sont bonnes et les directions faciles à suivre. Mais google maps ne fonctionne pas la bas. Pour vous repérer, mieux vaut prévoir un GPS ou mieux, utiliser l’application maps.me qui est parfaitement à jour et qui fonctionne hors ligne une fois la carte téléchargée.
Petit rappel si vous envisagez d’explorer le Djebel Akhdar ou le désert, un 4×4 sera obligatoire. Et en haute saison, mieux vaut penser à réserver son 4×4 bien en amont. Nous sommes parties en last minute le jour de Noël (organisation 3 jours avant, forcément pas les meilleures conditions…) et nous avons eu un mal fou à trouver un 4X4 disponible, encore moins en dessous de 1 000€ la semaine…
Si nous avons payé cher notre location, la bonne nouvelle c’est que l’essence est au prix de l’eau… Vous n’aurez donc que très peu de frais annexes !
Enfin, il est assez simple de se garer à Oman, même avec un 4×4. Il y a de larges places de stationnement dans les villes et des parkings un peu partout.

Loger à Oman
Plusieurs choix s’offrent à vous lors de votre itinéraire :

  • Les hôtels de luxe : un must à Oman si vous avez le budget.
  • Les hôtels plus basiques : plus abordables que les hôtels de luxe. Vous en trouverez de toute sorte, mais ils sont souvent très simples et parfois un peu cher pour le prix.
  • Campement sous la tente au milieu du désert, une expérience à ne pas rater !
  • Le camping sauvage est autorisé partout dans le pays, en dehors des villes bien sur. C’est une belle option pour les amoureux de nature, notamment dans les montagnes. Mais si vous partez en hiver, il faudra bien vous équiper car il peut faire très froid la nuit.

Un conseil : il n’y a pas encore beaucoup d’infrastructures touristiques à Oman et les hôtels sont globalement chers. Donc si vous partez en haute saison, pensez à réserver vos bien hôtels en amont, car les prix s’envolent à la vitesse de la lumière sans pour autant que les prestations ne soient à la hauteur…

Comment s’habiller à Oman ?
Oman est un pays très ouvert et n’impose pas de tenue vestimentaire stricte comme certains de ses voisins. Mais il reste tout de même attaché à ses traditions et quelques règles sont donc à respecter – notamment pour les femmes – si vous ne voulez pas heurter les moeurs locales.
Les épaules et les genoux doivent être couverts. Prévoyez donc des tenues amples et évitez tout ce qui est dénudé, trop court ou trop près du corps. Si vous prévoyez de visiter les mosquées, sachez que vos cheveux, vos bras et vos jambes devront être intégralement couverts, sous peine de ne pas pouvoir entrer. Pensez donc à emporter un sarouel léger et un petit chèche avec vous par exemple, ça ne prend pas de place et il vous seront bien utiles ! (Parfaits aussi pour contrer la clim omniprésente…)

Et pour la baignade ?
A l’hôtel ou sur les plages privées, vous n’aurez absolument pas de restriction. En dehors, pas de pièces trop échancrées pour ne pas choquer les omanais. Essayez au mieux de vous couvrir même si dans les faits, personne ne vous dira rien. Le maillot 1 pièce peut être une bonne alternative. Idéalement mettez un petit t-shirt léger par dessus votre maillot, un paréo ou un board short.
A vous donc, d’adapter selon les lieux où vous vous trouverez !

Enfin, pensez à prendre des affaires chaudes si vous partez explorer les montagnes, car il peut y faire très froid la nuit.

Peut-on faire voler son drone à Oman ?
Il est formellement interdit de voler en drone à Oman en tant que pilote de loisir. Seules sont autorisées à voler les personnes certifiées en mission professionnelle. Il faudra obligatoirement faire une demande d’autorisation sans aucune garantie d’acceptation. Sans autorisation, votre drone sera confisqué à l’aéroport.
Touts les infos sur le site de l’Autorité de l’Aviation Civile d’Oman (CAA) : ici.

BON A SAVOIR

Monnaie : OMR – Omani Rial
Décalage horaire : GMT +4h
Indicatif Téléphonique : +968
Types de prises :

Pensez donc à prendre un adaptateur avec vous.

10 janvier 2020 0 comment
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Image Majorque Cala Figuera
Espagne

Majorque | Les incontournables pour découvrir la côte nord-ouest en 3 jours

by Sarah 13 novembre 2019

Au large de l’Espagne, Majorque est la plus grandes des îles de Baléares. Un vrai dépaysement, à seulement 2h de vol…
Au sud et à l’est, la côte est longée par des plages et des criques sublimes, mais c’est également la partie la plus touristique. Au nord-ouest s’étend la Serra de Tramuntana depuis le Cap Formentor jusqu’au port d’Andratx. Cette chaîne montagneuse aux versants abrupts offre des panoramas éblouissants sur une nature sauvage encore préservée. On y trouve aussi de charmants petits villages pittoresques en pierre comme Sóller, Valldemossa ou Deià.

Voyageant hors saison (début novembre), c’est du côté de la Serra de Tramuntana que nous avons décidé de nous évader le temps d’un long week-end avec une amie. Nous avons trouvé des vols arrivant en début de soirée et repartant le matin tôt. Cela nous a permis de passer 3 jours pleins, sur place. C’est court, mais c’est déjà pas mal pour découvrir cette partie de l’île.

Voici quelques conseils pour profiter au mieux de cette magnifique côte.

Idée d’itinéraire sur 3 jours :

  • JOUR 1 – Sóller et les villages de montagne : Biniaraix & Fornalutx
  • JOUR 2 – Cap Formentor & alentours
  • JOUR 3 – Les villages typiques du bord de mer : Deià, Valldemossa & Banyalbufar


Flâner dans les rues de Sóller

La ville de Sóller est située dans une vallée entourée par les champs d’orangers, de citronniers et d’oliviers. C’est ici que nous avons décidé de poser nos valises pour le week-end. Sa position centrale et sa proximité avec les villages de la Tramuntana en font un point de chute idéal pour sillonner le nord-ouest de l’île.

J’ai adoré flâner dans la ville historique, avec ses jolies ruelles pavées, ses maisons typiques en pierre et ses petites boutiques artisanales. L’église de San Bartomeu surplombe la Plaza de la Constitución. C’est la place centrale de Sóller, bordée de petites terrasses sous les platanes et traversée par un ancien tram en bois.

Ce tram pourra vous emmener jusqu’au port pittoresque de Sóller, qui se situe à quelques kilomètres du centre. Sa promenade est très agréable, il y a de nombreux cafés et restaurants.
Pour mieux admirer le port, nous avons décider de grimper dans les hauteurs et de bruncher au Bikini Island & Mountain Hotel. Leur terrasse offre une vue absolument magnifique sur la baie ! Nous nous sommes fait surprendre à la fin du déjeuner par une grosse averses et avons pris un thé bien chaud dans leur salle de musique hyper cosy.

Image Majorque Soller

Où dormir à Sóller ?

SólleRooms GuestHouse : Une pépite en plein cœur du village, pour un tarif imbattable. L’hôtel est joliment décoré et le petit jardin intérieur est très agréable.
Tarif : 64€ / nuit

Où manger et prendre un verre à Sóller ?

  • Bikini Island & Mountain Hotel : mon adresse chouchou pour bruncher (ou prendre un verre). Dans une ambiance hippie-chic avec un petit côté 60’s, l’hôtel propose un buffet à volonté délicieux avec un très large choix de produits salés et sucrés.
    Tarif du brunch : 21€ par tête
  • Luna 36 : cuisine excellente et raffinée, dans un cadre très agréable.
    Tarifs : Entre 20 et 30€ le plat
  • Ca’n Pintxo : si vous avez envie de bonnes tapas ou de « pinchos » (petites bouchées) comme son nom l’indique ! A vous de vous servir, les pics de couleurs différentes indique les prix de chaque tapas.
    Tarifs : Entre 3 et 8€ les pintxos
  • Casa Alvaro : pour boire un verre de vin accompagné d’un bon pan con tomate (ma passion).
    Tarifs : autour de 4€ le verre, tapas entre 5 et 10€

Comment se rendre à Sóller depuis Palma ?

Si vous n’avez pas de voiture, prenez le petit train de bois à Palma de Majorque qui traverse l’arrière pays (1h environ). C’est une expérience pittoresque que nous aurions beaucoup aimé faire !
En voiture, il vous faudra une trentaine de minutes pour rejoindre Sóller depuis l’aéroport. Comptez plutôt 40 depuis le centre de Palma.

Se stationner à Sóller

Trouver des places de stationnement gratuites est un vrai casse tête près de la ville historique, et la police locale ne manquera pas de vous mettre une amende si vous avez « oublié » de payer votre dû. Si vous trouvez une hôtel avec parking, c’est le top ! Sinon, il faudra prévoir de payer autour de 0,90€ de l’heure, jusqu’à 5€ par jour pour se stationner dans le coin.

Attention au stationnement les jours de marché ! Ravies de trouver une place tout près de la place centrale, nous n’avions pas vu les panneaux d’interdiction de stationnement le matin certains jours de la semaine… Cela nous a valu 2h de perdues et un petit billet (clairement pas utiles…) mais quand même une bonne rigolade quand les policiers eux-mêmes nous ont gentiment emmené à l’arrière de leur voiture blindée jusqu’à la fourrière, à quelques kilomètres en dehors de la ville.

Découvrir les villages de montagne

Fornalutx

Pépite nichée au coeur de la serra, Fornaluxt compte parmi les « plus beaux villages d’Espagne ». De belles maisons en pierres bordent les rues pavées décorées de plantes et de fleurs. On fait le tour de la ville assez rapidement, mais c’est une jolie balade dans un cadre bucolique et dépaysant.

Biniaraix

Dans le même esprit mais encore plus petit, le village de Biniarix est tout près.
Le toit d’une l’église qui perce les arbres, les ipomées encore en fleurs qui donnent des touches de bleu et de violet par ci par là, les champs d’orangers et la serra en fond… Les abords du village sont à tomber !

Image Majorque Biniaraix vue
Image Majorque Biniaraix vue

Cap Formentor & ses alentours

Admirer la beauté sauvage de la péninsule de Formentor

Située à la pointe nord de l’île, la péninsule de Formentor offre des paysages éblouissants entre falaises à pic, forêts de pin et mer d’un bleu éclatant.

Sur la route, arrêtez-vous absolument au Mirador Es Colomer pour admirer la vue. C’est certainement LE point de vue les plus spectaculaire sur le cap – voire de l’île entière !

Si vous avez un peu plus de temps, vous pouvez poursuivre votre chemin jusqu’au phare de Formentor, à l’extrême nord du cap. Si le phare en lui même n’a pas un grand intérêt, la vue sur la mer est tout de même jolie mais surtout, la route en épingle que l’on emprunte pour y accéder offre différents points de vue qui valent le détour. N’hésitez pas à vous arrêter au bord de la route, pour observer les couleurs incroyables de la Cala Figuera par exemple. Nous n’avons pas eu le temps d’y descendre, mais le lieu à l’air unique. Le chemin du phare est également une bonne occasion pour faire un pique-nique, même si vous pourrez trouver de quoi vous restaurer sur place.

Cala Formentor, pour une baignade bien méritée

En redescendant du phare, nous nous sommes arrêtées quelques heures sur cette plage cachée derrière une forêt de chênes, aussi appelée « Cala Pi de la Posada ». Ce fut une belle surprise de tomber sur une eau aussi turquoise, un sable blanc et fin, le tout avec vue sur les montagnes. Quel bonheur de se baigner en plein mois de Novembre ! Et pour que j’accepte d’y rentrer – en entier svp – croyez bien qu’elle ne devait pas être si froide 😉 !
En hors saison, il n’y avait absolument personne. Mais vu la taille du parking, j’imagine que c’est un endroit très fréquenté l’été… Donc essayez de venir assez tôt si vous venez en haute saison !

Alcúdia, la ville la plus ancienne de Majorque

Avant de rentrer à Sóller, nous avons fait un léger détour vers Alcúdia, pour prendre un café et nous balader dans la vieille ville entourée par d’épais remparts. Je n’ai pas été particulièrement charmée par la ville, mais en plein saison c’est surement plus animé.

Nous n’avons pas eu le temps de passer par la vieille ville de Pollença qui semble plus agréable. A vérifier lors d’un prochain séjour donc !

Les charmants villages du bord de mer

Deià

Niché à flanc de montagne, Deià fait partie de ces petits villages pittoresque incontournables de la Serra avec ses maisons ocres aux volets verts et ses bougainvilliers.
Trois kilomètres plus bas, vous trouverez la fameuse Cala Deià. Cette superbe crique aux eaux claires a beaucoup de charme, avec son petit restaurant dont la terrasse s’avance sur la mer. Ca’s Patro March n’est ouvert qu’en saison, nous n’avons donc pas pu en profiter et il faisait bien gris ce jour là, mais l’endroit doit être extra pour déjeuner. (A réserver bien en avance et penser à prendre du cash avec vous.)

Avant de repartir de Deià, arrêtez vous prendre un petit café chez S’Hortet. Vous pouvez également y déjeuner, ils y servent une très bonne cuisine végétarienne.

Valldemossa

Mon village préféré de la Serra. Si vous aimez les villages fleuris au charme méditerranéen authentique, vous devriez aimer Valldemossa !

Au détour de ses ruelles étroites, on peut y admirer belle Chartreuse Royale de Valldemossa appelée « Cartoixa » (prononcer Cartotcha) qui trône au milieu du village. C’est un ancien monastère fondé par les moines Chartreux au XIVe siècle. Depuis le jardin qui l’entoure, son clocher aux azulejos turquoise se détache magnifiquement au dessus des arbres, c’est superbe.

Au pied de la chartreuse, nous sommes tombées par hasard sur la terrasse du restaurant Es Roquissar où nous avons déjeuné. Le cadre est idéal et la cuisine délicieuse. Une belle découverte !

En fin de journée, nous avons été jusqu’au port de Valldemossa (Sa Marina) situé à environ 6 km, pour observer le coucher de soleil. C’est un petit port de pêcheurs, installé dans une crique rocheuse.

Banyalbufar

Au delà du village en lui même, c’est surtout le cadre de Banyalbufar et les alentours que j’ai aimé. Perché en haut d’une colline face à la mer, la ville est entourée de vignes cultivées à flanc de montagne sur des terrasses en escalier. C’est un stop agréable pour se balader et prendre un café avec vue dans l’un des nombreux petits restaurants qui longent la rue principale.


Ces trois jours sont passés à une vitesse folle et m’ont donné envie de revenir à Majorque dès le printemps suivant pour profiter des plages de l’autre côté de l’île. Nous n’étions même pas encore revenue que nous avions déjà pris nos billets pour le mois de mai. J’aurais adoré vus raconter cette partie, mais entre temps le COVID est passé par là et notre séjour a été annulé. Ce n’est que partie remise !

INFOS PRATIQUES

Venir à Majorque : En vol direct ou avec escale.
Majorque est très facilement accessible et bénéficie de nombreuses liaisons partout en France. En haute saison, vous n’aurez aucun mal à trouver des vols directs. Hors saison, ils seront moins réguliers surtout depuis la province. Il faudra peut être passer par Barcelone. Vueling, Easyjet ou encore Transavia desservent régulièrement cette destination à des tarifs plutôt attractifs. 

Nous avons payé moins de 100€ AR notre billet en passant par Vueling et Easyjet. 

Quand partir à Majorque ?
Le climat méditerranéen de Majorque le rend accessible a peu près toute l’année.
La période idéale pour visiter l’île s’étend du mois de mai jusqu’à la mi-octobre. À ce moment, vous pourrez profiter d’un climat chaud et les températures de l’eau seront parfaites pour la baignade.
Mais comme d’habitude dans les zones très touristiques, éviter à tout prix la haute saison entre mi-juin et fin août, qui est vraiment surchargée en plus d’être très chaude.

Novembre était un peu limite dans le sens ou pas mal de petits restaurants, d’hôtels et de commerces venaient tout juste de fermer. Mais si vous venez uniquement pour le côté nature, et les journées peuvent être encore très douces. C’est d’ailleurs une période idéale si vous aimez faire de la randonnée.

Où loger à Majorque pour visiter la côte nord-ouest ?
Pour découvrir cette partie de l’île, le mieux est de loger dans l’un des petits villages de la Serra de Tramuntana. Nous avons choisi le charmant village de Sóller pour sa position très centrale qui nous a permis d’accéder facilement au nord et au sud. Le port comme le village sont de bonnes options.
Valldemossa me paraît également une bonne alternative car le village est charmant et très vivant.

Se déplacer à Majorque :
Il me semble indispensable de louer une voiture si vous voulez découvrir l’île. Il est très facile de s’orienter sur place et les routes sont bien entretenues. En revanche, le stationnement en ville peut s’avérer complexe et il est souvent payant. Essayez de trouver un hôtel avec parking si vous le pouvez !

Louer une voiture à Majorque :
Vous pourrez louer facilement une voiture chez l’un des nombreux loueurs installés à l’aéroport ou dans la ville de Palma. Préférez un petit format si vous le pouvez car les routes sont parfois étroites.

Tous les prix sont proposés, mais ATTENTION aux tarifs trop attractifs ! Nous sommes tombées en plein dedans… Via Autoescape nous avons réservé chez Goldcar qui proposait à première vue un tarif imbattable : 22€ pour 3 jours. Trop beau pour être vrai. Pourtant convaincues d’avoir bien tout lu, quelle surprise en arrivant sur place de découvrir que l’agence refusait notre CB pour gérer la caution, à moins de prendre une assurance supplémentaire à prix d’or. En effet, en France la grande majorité de nos cartes sont en réalité des cartes dites de « débit » (si si, c’est même marqué sur votre CB). Or certains n’acceptent que la carte de « crédit ». Résultats des courses, nous avons du payer 120€ supplémentaires. Ça pique.
Donc assurez-vous bien de vérifier les infos de votre CB et surtout la politique de l’agence en lui envoyant un mail en amont.
C’est typique des Baléares, on retrouve cette situation chez de nombreux loueurs low cost qui au final reviennent parfois plus cher que de passer directement par une grosse compagnie comme Hertz ou Sixt par exemple.

Voir plus de détails dans mon article sur Ibiza : ici.

Quelle langue parler à Majorque ?
La langue officielle des Baléares est le catalan, mais tout le monde parle également l’espagnol. Chaque île a conservé ses dialectes locaux, proches du catalan. A Majorque, vous entendrez peut-être parler le majorquin dans certains villages. Cela fait pas mal de mélanges mais il est assez simple de vous y retrouver si vous avez quelques bases de castillan. Ne soyez donc pas étonnés si un même lieux est prononcé ou écrit de façon différente.

Peut on faire voler son drone aux Baléares ?
Oui, mais il est importante respecter certaines règles, que ce soit pour le loisir ou au niveau professionnel. En Espagne, la législation drone relève de l’Agence nationale de sécurité aérienne (AESA).
Voici un guide très bien fait – en français et en anglais – qui vous donnera les informations essentielles pour faire voler votre drone en Espagne : ici.

Dans les Baléares, il existe des zones d’interdiction de vol, vous trouverez une carte pour vous aider ici. Mais le mieux reste de se rendre sur le site de l’AESA si vous parlez bien l’espagnol.

Attention à la compagnie aérienne que vous prendrez pour venir, elles n’acceptent pas toutes les drones à cause de leurs batteries LiPo. Easyjet par exemple refuse catégoriquement que vous montiez avec un drone à bord qu’il soit en bagage à main ou en soute. Transavia eux, acceptent à condition que vous preniez vos batteries en cabine, au nombre de 2 maximum.

13 novembre 2019 0 comment
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